DOI | Trouver le DOI : https://doi.org/10.1139/g76-062 |
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Auteur | Rechercher : Hartmann, James X.; Rechercher : Galla, J. D.; Rechercher : Emma, D. A.; Rechercher : Kao, K. N.1; Rechercher : Gamborg, O. L.1 |
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Affiliation | - Conseil national de recherches du Canada
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Format | Texte, Article |
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Résumé | On a procédé à une étude sur l'induction d'homocaryocytes par le polyéthylène glycol (PEG) chez les érythrocytes des oiseaux et des mammifères au préalable traités avec des enzymes protéolytiques. Le PEG dont le poids moléculaire varie entre 6 000 et 7 500 a été plus efficace que le PEG de PM égal à 1 500 ou 20 000. Les cellules uniquement soumises à l'action de la protéase avant l'addition du PEG ont montré un degré de fusion très élevé (60 à 95% de cellules multinucléées) ce qui n'a pas été le cas pour les cellules traitées à la trypsine ou la pepsine (2.5%). La trypsine réduit l'efficacité de la protéase lorsque les deux enzymes sont en présence l'un de l'autre. Les cellules non traitées aux enzymes protéolytiques se sont agglutinées en présence du PEG, mais n'ont pas fusionné de façon marquée (0.01%). La fusion cellulaire dépend fortement de la rapidité de l'élution du PEG pendant l'opération. Le microscope électronique révèle que la fusion débute chez les cellules agglutinées pendant l'élution. |
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Date de publication | 1976-09-01 |
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Maison d’édition | Canadian Science Publishing |
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Dans | |
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Langue | anglais |
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Publications évaluées par des pairs | Oui |
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Identificateur de l’enregistrement | 15aa6c18-e94a-419c-8b1d-62188e534680 |
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Enregistrement créé | 2023-09-06 |
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Enregistrement modifié | 2023-09-06 |
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