| Résumé | Ce document fait état de deux expériences réalisées dans un même bureau-laboratoire. Dans le cadre d'une expérience de plus grande envergure, 58 participants ont travaillé pendant une (1) journée sous un éclairage de l'une de deux conceptions différentes. La première de ces conceptions utilisait seulement des luminaires paraboliques encastrés au plafond. La seconde conception utilisait le même éclairage ambiant parabolique, avec l'ajout d'un appareil d'éclairage d'appoint sur bras réglable. Les participants ne pouvaient contrôler l'éclairage qu'à compter de l'après-midi, à l'aide d'un gradateur, dans le cas des appareils d'éclairage ambiant paraboliques, les participants dotés de sources d'appoint ayant quant à eux la possibilité de déplacer le bras. Durant le jour, les participants accomplissaient diverses tâches cléricales simulées, et devaient également remplir un certain nombre de questionnaires portant sur l'humeur éprouvée, le taux de satisfaction et le degré d'inconfort. Les conclusions découlant des questionnaires n'ont fait état d'aucune incidence majeure qu'aurait pu avoir la conception de l'éclairage. Toutefois, l'éclairage d'appoint a été mis en corrélation avec des améliorations de la performance dans l'exécution de certaines tâches. Il est intéressant de noter que l'accès à l'appareil d'éclairage d'appoint n'a pas influé sur le rendement lumineux ambiant que préféraient les participants. La seconde expérience, réalisée avec 31 participants, était basée sur cette dernière observation. À nouveau, l'éclairage ambiant était fourni par des luminaires paraboliques encastrés au plafond, et les participants ont été équipés aussi d'appareils d'éclairage d'appoint. Dans le cas de deux (2) types différents de ces derniers appareils (sur bras réglable et à abat-jour luminescent), à trois (3) intensités différentes (soit 0 %, 50 % et 95 %), les participants ont utilisé un gradateur pour sélectionner leur niveau d'éclairage ambiant préféré. Bien que le fait d'augmenter l'éclairage d'appoint ait réduit effectivement le niveau d'éclairage ambiant requis (choisi), la réduction notée de la puissance lumineuse était peu importante et équivalait à peine, environ, à la puissance tirée par l'éclairage d'appoint. Les résultats laissent croire que les participants n'ont pas atténué davantage l'éclairage ambiant, préférant conserver l'éclairement lumineux incident sur les surfaces ne nécessitant pas d'appareils d'appoint, et aussi pour éviter les rapports de luminance extrêmes. |
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