Protection contre les incendies (partie 3 du CNB et annexe D)

Par Conseil national de recherches du Canada

Protection contre les incendies (partie 3 du CNB et annexe D) - Transcription

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Bonjour. Je me présente. André Laroche, conseiller technique auprès du Comité permanent pour la protection contre l'incendie.

Cette présentation abordera des sujets liés aux grands bâtiments visés par la partie 3 de la division B du Code national du bâtiment, ainsi que des modifications apportées à l'annexe D et à la partie 1 de la division A qui traitent des grands bâtiments.

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Cette présentation est l'une d'une série de 13 présentations portant sur les éditions 2015 des publications de Codes Canada.

Avant d'aborder le contenu technique de cette présentation, je donnerai un bref aperçu du système d'élaboration des codes.

Il est important de noter que les codes modèles, élaborés par la Commission canadienne des codes du bâtiment et de prévention des incendies, doivent être adoptés par les autorités compétentes des provinces et territoires pour avoir force de loi.

Cela pourrait signifier que les exigences des codes promulguées par les lois de votre province ou territoire pourraient diverger de ce qui sera présenté ici. Veuillez consulter vos autorités locales.

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Il est également important de noter que les codes nationaux ne représentent pas une réglementation fédérale.

Ce qui veut dire que ni le CNRC, ni Codes Canada ne décident de ce qui se retrouve dans les codes; cette décision vous revient!

Codes Canada favorise un processus ouvert, transparent et fondé sur le consensus afin d'apporter des améliorations aux codes.

Plus de 400 membres de comités donnent de leur temps pour prendre part aux décisions relatives aux modifications apportées aux prochains codes.

Tous les comités sont équilibrés en ce qui a trait au nombre de membres issus des domaines de la réglementation, de l'industrie et de l'intérêt public afin d'éviter qu'un groupe puisse mettre en minorité les autres groupes.

La diapositive illustre ce processus :

  • D'abord, quelqu'un fait une demande de modification au code.
  • Cette demande est envoyée aux comités techniques chargés de l'élaboration des modifications proposées.
  • Le processus comprend un examen public et l'approbation finale de la Commission canadienne des codes du bâtiment et de prévention des incendies.

Cette procédure est simple et dépend de votre participation.

Visitez le portail de Codes Canada et voyez comment vous pouvez :

  • soumettre une demande de modification aux codes;
  • faire partie des comités; ou
  • formuler des commentaires sur les modifications proposées au cours d'un examen public.

www.codescanada.ca

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Avant de commencer, voici quelques précisions sur les présentations :

  • Les présentations abordent uniquement les modifications qui différencient les éditions de 2010-2011 des éditions de 2015 et n'expliquent pas comment utiliser ou interpréter les codes en général.
  • Les présentations ne font état que des modifications principales; les détails se trouvent dans le guide. Chaque présentation renvoie aux pages correspondantes du guide.
  • Les présentations se limitent aux codes nationaux et ne s'attardent pas aux variations provinciales ou territoriales.

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Dans le cadre de cette présentation, nous aborderons certaines des principales modifications apportées à la partie 3 de la division B, à l'annexe D, ainsi qu'à la partie 1 de la division A, dont ne traitent pas les autres présentations.

Six sujets seront abordés. Des modifications ont été apportées aux dispositions portant sur :

  • les composants combustibles permis dans les bâtiments;
  • la protection des mousses plastiques;
  • l'étanchéité à la fumée;
  • la méthode fondée sur la somme des éléments contribuants;
  • les bâtiments de stockage libre-service;et
  • les bâtiments sur terrains en pente.

Guide : pages 3 à 10 et 21 à 25

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Une certaine confusion entourait les exigences relatives à l'utilisation d'un revêtement extérieur combustible et de composants combustibles dans les murs extérieurs d'un bâtiment pour lequel une construction incombustible est exigée. Il est possible que cette confusion ait mené à une mauvaise application des exigences.

Pour mieux comprendre les dangers et les risques associés aux composants combustibles, il faut comprendre ce que ces exigences visent à protéger. Cet aspect a été précisé dans le Code national du bâtiment.

L'exposition au feu provient de l'intérieur du bâtiment et non de l'extérieur. L'objectif est d'empêcher les ravages, comme ceux illustrés à droite, causés par un incendie qui se propage d'une aire de plancher par l'extérieur d'un bâtiment pour atteindre les étages supérieurs. Au Canada, nous sommes de bons voisins! On en fait également la preuve dans les exigences relatives à la séparation spatiale qui visent à réduire les risques de propagation du feu aux bâtiments voisins.

Des modifications ont été apportées aux exigences relatives aux revêtements extérieurs combustibles et aux composants combustibles dans les bâtiments pour lesquels une construction incombustible est exigée.

En ce qui concerne les revêtements extérieurs combustibles, l'objectif est d'empêcher la propagation du feu en provenance d'une ouverture dans le mur vers les étages supérieurs.

Enfin, quant aux composants combustibles dans les murs extérieurs d'un bâtiment pour lequel une construction incombustible est exigée, le but est d'empêcher les matériaux combustibles de s'enflammer et de contribuer à la charge combustible du compartiment résistant au feu, qui pourrait rapidement entraîner un embrasement général de la pièce. Un embrasement général s'entend du moment où tous les composants combustibles d'une pièce s'enflamment. Une telle situation augmente considérablement la probabilité que les mesures de protection contre les incendies en place, comme des systèmes de gicleurs ou des séparations coupe-feu, ne suffisent pas à la tâche.

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La photo de droite montre deux types d'isolants : l'isolant combustible à gauche et l'isolant en mousse plastique à droite.

La mousse plastique présente un plus grand danger que l'isolant combustible lors d'un incendie.

L'isolant combustible brûlera lorsque exposé au feu, mais ne se consume pas aussi intensément que l'isolant en mousse plastique.

Par exemple, avez-vous déjà essayé de brûler un gobelet de mousse? Que se passe-t-il? Le gobelet brûle rapidement et dégage des vapeurs toxiques.

Un peu comme ce que nous venons de voir pour les composants combustibles, la distinction entre les isolants combustibles et les isolants en mousse plastique était difficile à faire étant donné que les exigences à ces égards figuraient toutes dans un même article. Certains utilisateurs du Code national du bâtiment étaient donc perplexes, car les dispositions ne s'appliquaient pas à tous les matériaux isolants de la même manière.

Comme souligné plus tôt, l'exposition au feu provient de l'intérieur du bâtiment, et non de l'extérieur.

Des précisions ont été apportées au Code national du bâtiment en ce qui concerne la protection offerte par un isolant en mousse plastique par rapport à celle qu'offre un isolant combustible.

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Cette photo montre un réfrigérateur-chambre ou congélateur-chambre. Ces appareils sont composés de panneaux préfabriqués.

En avez-vous déjà vu?

On retrouve souvent ces équipements d'entreposage réfrigéré dans les cuisines de restaurants. Même si vous n'avez jamais travaillé dans l'industrie des services alimentaires, vous pourriez aussi en avoir visité chez Costco, par exemple.

Le Code national du bâtiment ne comportait pas vraiment d'exigences relativement à l'utilisation des réfrigérateurs-chambres et des congélateurs-chambres composés de panneaux préfabriqués, bien qu'ils contiennent des isolants en mousse plastique. De nouvelles exigences concernant de telles installations ont été ajoutées au Code national du bâtiment pour tous les bâtiments, y compris ceux visés par la partie 9.

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Saviez-vous que 80 % des décès survenus lors d'incendies sont liés à l'inhalation de fumée?

Le terme « feu » n'est pas défini dans le Code national du bâtiment mais sa définition traditionnelle laisse entendre que le feu est lié à la chaleur et à la fumée.

Le Code national du bâtiment utilise les termes « séparation coupe-feu » et « degré de résistance au feu ». Ces deux termes et leur notion d'étanchéité à la fumée pouvaient porter à confusion.

Le Code national du bâtiment manquait de clarté à savoir si l'on devait se pencher ou non sur les dangers liés à la fumée et, comme ces dangers n'étaient pas définis, diverses interprétations et applications des exigences étaient possibles relativement aux dispositifs d'obturation dans les séparations coupe-feu.

Un sondage mené auprès de différentes autorités compétentes partout au pays, afin de déterminer si toutes avaient la même compréhension des protections requises contre la propagation de la fumée pour des applications données, a confirmé sans surprise qu'il était nécessaire de préciser les endroits où l'étanchéité à la fumée devait être assurée.

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Examinons le problème de plus près. Cette image montre plusieurs conduits. Supposons que le mur qu'ils traversent est une séparation coupe-feu et que le conduit rectangulaire ne devient pas circulaire avant de traverser le mur.

Des registres coupe-feu doivent être installés à l'intérieur du conduit ainsi que dans une ouverture de transfert d'air, dans le plan de la séparation coupe-feu. Cette exigence existait déjà, mais des exigences relatives à l'étanchéité des registres à la fumée ont été ajoutées.

Les registres coupe-feu traditionnels sont habituellement munis d'un maillon fusible qui fond et libère le registre coupe-feu, un peu à la manière d'une guillotine. De plus, son fonctionnement n'est activé que par la chaleur, alors la fumée peut se propager aux autres aires du bâtiment par les conduits pendant un certain temps. À l'inverse, si une tranche de pain brûle dans le grille-pain, l'avertisseur de fumée sera sensible à la fumée et donnera l'alarme avant que votre cuisine ne s'enflamme.

Enfin, le Code national du bâtiment ne comportait aucune exigence relative aux fuites des registres coupe-feu.

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De nouvelles exigences ont été ajoutées afin :

  • d'empêcher la fumée d'atteindre les aires utilisées comme voies d'évacuation dans certains endroits; et
  • d'exiger une cote d'étanchéité pour les portes dans certains endroits.

L'image montre un registre de contrôle de la fumée qui pourrait être installé dans un conduit ou dans une ouverture de transfert d'air, dans le plan d'une séparation coupe-feu.

En ce qui a trait à l'étanchéité à la fumée, les nouvelles exigences concernant les registres de contrôle de la fumée ou les registres coupe-feu/registres de contrôle de la fumée combinés s'appliquent seulement aux ouvertures de transfert d'air ou aux conduits dans des aires spécifiques qui pénètrent une séparation coupe-feu qui :

  • isole un corridor;
  • comporte une porte de sortie, où la distance à parcourir est mesurée à partir de la porte de sortie;
  • dessert un établissement de réunion, de soins, de traitement, de détention ou une habitation; ou
  • délimite un parcours sans obstacle, protection du parcours sans obstacle, ou une aire de plancher dans les établissements de soins et de traitement.

De plus, les exigences relatives à l'installation, à l'inspection et à la mise à l'essai des registres coupe-feu, des registres de contrôle de la fumée et des registres coupe‑feu/registres de contrôle de la fumée combinés incorporent maintenant par renvoi la norme NFPA 80.

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Qu'est-ce que la méthode fondée sur la somme des éléments contribuants? Cette méthode est utilisée pour déterminer le degré de résistance au feu d'une combinaison spécifique de matériaux de construction. Sans cette méthode, un concepteur devrait utiliser un ensemble ayant été soumis à un essai de tenue au feu qui utilise habituellement des matériaux exclusifs, ou devrait lui-même procéder à des essais de tenue au feu. La méthode fondée sur la somme des éléments contribuants a recours à des matériaux génériques qui peuvent servir à déterminer le degré de résistance au feu des ensembles.

La méthode fondée sur la somme des éléments contribuants peut être comparée à un sandwich : chaque élément du sandwich contribue à votre expérience culinaire globale. Si l'on applique cet exemple à un mur, chaque partie du mur contribue au degré de résistance au feu global de l'ensemble. Cette méthode attribue une durée de résistance au feu à chaque composant de l'ensemble.

Quel était le problème? La méthode fondée sur la somme des éléments contribuants n'a pas été mise à jour depuis longtemps. Certains matériaux de construction qui sont souvent utilisés n'ont donc pas été inclus. Le défi auquel nous faisons face est que l'application de la méthode se limite aux matériaux de construction définis dans le Code national du bâtiment. Il est impossible de tirer des conclusions quant à la combinaison possible de matériaux de construction autres que ceux qui sont compris dans les différents tableaux du Code national du bâtiment.

Pour cette raison, la méthode a été modernisée.

La phase 1 visait à introduire des modifications mineures liées à la nomenclature utilisée dans l'annexe D.

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Lors de la phase 2, la révision se limitait à la section portant sur les murs, les planchers et les toits à ossature de bois ou à ossature d'acier. Les tableaux ont été élargis afin d'inclure de nouveaux matériaux de construction et de nouvelles combinaisons de matériaux de construction, notamment pour :

  • les murs porteurs;
  • les murs non-porteurs;
  • les ensembles à ossature de bois; et
  • les ensembles à ossature d'acier.

De plus, les valeurs présentées dans les tableaux ont été éclaircies et l'éventail d'options a été élargi pour :

  • les profilés métalliques souples;
  • les revêtements de sol;
  • les matériaux isolants; et
  • les éléments structuraux.

L'application de la méthode fondée sur la somme des éléments contribuants en tant que telle a été précisée de manière à la rendre plus claire.

Toutes les valeurs qui ont été retenues dans le cadre de cet exercice ont été validées par l'intermédiaire d'analyses des résultats d'essais de tenue au feu pour des ensembles à ossature de bois et à ossature d'acier.

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Avez-vous déjà regardé l'émission « La guerre des enchères »? Pour ceux d'entre vous qui ne connaissent pas l'émission, celle-ci porte sur la mise aux enchères de locaux de rangement. Pour parvenir à les acheter, les enchérisseurs se livrent à toutes sortes de manigances. Les locaux dont il est question dans l'émission ressemblent souvent à ceux qui sont illustrés ici.

Saviez-vous qu'il existe 3300 bâtiments de stockage libre-service au Canada, pour un total de 65 millions de pieds carrés d'espace de location? Chaque année, de 10 à 20 installations sont construites, ce qui ajoute 1 million de pieds carrés dans l'espace de location. Cette industrie est énorme!

Il n'y a actuellement aucune exigence spécifique dans le Code national du bâtiment à ce sujet, à l'exception d'un seul article faisant référence aux entrepôts libre-service à multiples locataires. En outre, l'Ontario et l'Alberta avaient leur propre approche; il devenait donc nécessaire d'harmoniser les exigences.

Ainsi, une nouvelle sous-section a été ajoutée pour permettre un assouplissement des exigences du Code national du bâtiment, car sans cet ajout, le Code national du bâtiment serait appliqué de la manière traditionnelle, ce qui pourrait poser problème, par exemple, en ce qui a trait au classement des usages. Les nouvelles exigences visant les bâtiments de stockage libre-service se limitent aux bâtiments à un étage comportant un accès extérieur. Cette étape était considérée comme la phase 1.

Les nouvelles exigences indiquent que ces bâtiments doivent faire partie des bâtiments du groupe F de la division 2, ayant une aire de bâtiment pouvant abriter un seul bâtiment ou un groupe de bâtiments et assujettis à des exigences distinctes relativement à la séparation spatiale.

Les bâtiments à un étage accessible depuis l'intérieur ainsi que les bâtiments à plusieurs étages feront l'objet des phases à venir.

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L'application des dispositions types du Code national du bâtiment représente un défi lorsqu'il est question de bâtiments sur terrains en pente. Combien d'étages le bâtiment de gauche comporte-t-il? Selon le côté d'où vous regardez le bâtiment, la hauteur perçue sera différente. Cela dit, selon le Code national du bâtiment, ce bâtiment comporte 3 étages. L'image de droite démontre l'application générale des exigences du Code national du bâtiment selon laquelle le bâtiment en rose serait considéré comme un bâtiment à 6 étages! Cet écart risquait d'entraîner l'ajout d'autres exigences pouvant être onéreuses à mettre en place et qui ne seraient pas compatibles avec l'esprit du Code national du bâtiment.

Le Code national du bâtiment comportait des dispositions visant les bâtiments sur terrains en pente, mais elles se limitaient aux bâtiments du groupe C c'est-à-dire les habitations d'une hauteur de 3 étages, comme il est indiqué à l'écran.

Des dispositions relatives aux bâtiments sur terrains en pente avaient déjà été élaborées :

  • le Code national du bâtiment traitait les bâtiments sur terrains en pente comme étant comparables aux maisons en rangée, pour lesquelles une séparation coupe-feu continue offrant un degré de résistance au feu de 1 heure était requise;
  • les dispositions se limitaient aux bâtiments du groupe C, comme j'avais déjà dit, car il s'agissait du type d'usage des maisons en rangée et du type de bâtiment ayant principalement motivé la modification du Code national du bâtiment; et
  • les bâtiments sur terrains en pente ne pouvaient comporter plus de 3 étages, ce qui représentait à l'époque la limite de hauteur permise des bâtiments du groupe C de construction combustible.

Les exigences relatives à un parcours sans obstacle ont été ajoutées pour s'assurer que les risques liés à l'accessibilité ne soient pas accrus en raison de l'augmentation de la hauteur permise des bâtiments en gradin.

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Une analyse historique de l'élaboration de cette disposition a démontré une lacune quant aux facteurs de risque quantifiables liés à l'augmentation de la hauteur de bâtiment, et a proposé des mesures compensatoires visant à cibler les risques de manière comparative, en se fondant sur des dispositions existantes du Code national du bâtiment.

La nouvelle portée de la disposition est élargie :

  • la hauteur de bâtiment passe de 3 à 4 étages; et
  • le type d'usage comprend maintenant les groupes d'usage principaux A et D en plus du groupe C.

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Même si nous avons abordé plusieurs sujets, six plus précisément, il convient de retenir ce qui suit :

  • dans le Code national du bâtiment, on estime que l'exposition au feu provient de l'intérieur du bâtiment;
  • des exigences relatives à l'étanchéité à la fumée ont été ajoutées pour des endroits spécifiques; et
  • la méthode fondée sur la somme des éléments contribuants a été mise à jour.

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Nous avons abordé beaucoup de sujets au cours de la présentation d'aujourd'hui. Le guide est une ressource utile pour étudier plus en profondeur les thèmes de cette présentation.

Il traite de la plupart des modifications techniques qui ont été apportées au Code national du bâtiment, au Code national de prévention des incendies, au Code national de la plomberie et au Code national de l'énergie pour les bâtiments.

Le guide est en vente sur le site Web du Magasin virtuel du CNRC sous forme de PDF téléchargeable ou d'exemplaire papier. www.cnrc.gc.ca/magasinvirtuel

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Je vous remercie. Ceci met fin à la présentation sur la protection incendie.

Autre titreProtection contre les incendies (partie 3 du Code national du bâtiment Canada: 2015 et annexe D)
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  1. (MP4, 1.4 Gio)
DOITrouver le DOI : https://doi.org/10.4224/40002080
AuteurRechercher : 1; Rechercher : 1
OrateurRechercher : Laroche, André1
Affiliation
  1. Conseil national de recherches du Canada. Construction
FormatVidéo, Object d'apprentissage
ÉditionVersion 0.1
SujetCodes et guides; construction; bâtiment; protection contre le feu; CNRCCode
Date de publication
Maison d’éditionConseil national de recherches du Canada
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Languefrançais
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Identificateur de l’enregistrement740bb3e8-75b8-45ba-8d45-4d457c0a08fa
Enregistrement créé2021-05-04
Enregistrement modifié2023-05-03
Date de modification :