Résumé | Nous avons étudié à relativement haute résolution (0,05–0,12 cm–¹) les spectres de complexes hydrogène–néon faiblement liés en équilibre dans un mélange gazeux, en utilisant une cellule d'absorption à basse température (24 K) et à longue trajectoire (112 m) et un spectromètre infrarouge à transformée de Fourier. La majeure partie des données couvre la région de la vibration fondamentale de H₂ ou D₂ dans le moyen infrarouge (λ ∼2,4 ou 3,3 μm), mais sont aussi incluses des données sur la bande S0 (0) de rotation pure de D₂–Ne dans l'infrarouge lointain (λ ∼55 μm). Les spectres sont nettement meilleurs que les données existantes. Les résultats constituent un critère exigeant dans le test et l'amélioration de la surface d'énergie potentielle qui décrit les forces intermoléculaires dans le système hydrogène–néon. |
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